L’allergie: extension à la maladie
Dans l’allergie, nous avons pu individualiser une sorte de complexe conflictuel formé à partir de deux éléments principaux : le contexte ou la situation conflictuelle d’un côté, et le ou les rails de l’autre.
Dans la maladie, le rail est représenté par un ou plusieurs ressentis très précis, principalement élaboré(s) par la pensée. Comme la revue Néosanté développe ce sujet au fil de sa publication, il n’est pas nécessaire de nous appesantir. Passons donc, si vous le voulez bien, à la conclusion.
Instant du choc et la programmation de l’allergie
Que se passe t-il à l’instant du Psy-choc, lors de la programmation de l’allergie ? Lorsque le seuil psychique et émotionnel de tolérance est dépassé, notre cerveau enregistre toute une série de paramètres qui lui permettront de se rappeler de cet instant précis, jugé très déstabilisant. Et ce, dans un seul but : il faut éviter de revivre et de ressentir cette situation.
Ainsi, les 5 sens sont mis à contribution : ce que nous avons vu avec nos yeux, senti avec le nez, touché avec la peau, entendu avec l’oreille, gouté avec la bouche.
De plus, le cerveau enregistre, entre autres, le lieu, la température extérieure, les personnes présentes, les objets, les éléments comme le soleil, la pluie ou l’humidité, et également certaines substances comme les pollens, les graminées, les acariens, les médicaments pris ou à prendre, etc. Il enregistre bien sur aussi nos pensées du moment.
Au total, nous gardons en mémoire une situation ou un épisode de la vie associés à une sensation de danger, couplés à ces nombreux paramètres dont l’un des principaux est représenté par un rail en particulier, l’allergène.
Les hypersensibilités domestiques
Depuis quelques années, nous recevons des personnes présentant une hypersensibilité en lien avec un certain nombre de produits polluants l’air intérieur des habitations, notamment les COV ou Composés Organiques Volatils.
Ils sont émis par les matériaux de construction : bois traités, panneaux de particules ou bois agglomérés et contreplaqués dont les résines et colles contiennent du formaldéhyde, moquettes, peintures, isolants, solvants et colles, tissus d’ameublement, etc.
J’ai pu inventorier deux cas de figure, même si mon expérience est faible.
Le premier et le plus simple met en évidence un mal-être lié à un déménagement ou à une séparation. Dans les deux cas, l’allergène est représenté par la nouvelle maison d’habitation qui nous rappelle le déménagement ou la séparation difficile. Ainsi, on accuse les COV pour ne pas supporter la nouvelle situation.
Le second fait apparaître des êtres de nature déjà hypersensibles, souvent préoccupés de manière constante par les grands sujets comme la pollution de la terre, les agissements politiques égoïstes, la dérive de l’espèce humaine, etc. Leur mal-être indicible est ainsi caché par une allergie à la chimie, à l’artificiel qui représente une société à la dérive. De ce fait, ils préfèrent vivre isolés de toute pollution, à l’écart de la population…
Informations pour nos lecteurs
Avertissement: Ces informations d’ordre strictement général, ne constituent en aucun cas une consultation individualisée et ne remplacent pas votre suivi médical et/ou diététique.