L’allergie: la mise à distance
Dans la majeure partie des cas, le sens biologique de l’oedème est résumé par :
- « Je ne veux pas ou je ne peux pas être en contact avec… sous peine de ressentir à nouveau une grande souffrance ».
Prenons plusieurs exemples:
Dans la rhinite allergique, le principal signe est la disparition de l’olfaction et les éternuements. Pour nous, cette pathologie voudrait indirectement dire: «je ne veux plus ou je ne peux pas sentir quelque chose » pour l’olfaction et « je veux expulser quelque chose de mon territoire» pour l’éternuement.
Quand il y a des éternuements, nous nous orienterons vers une problématique du « je désire rejeter un intrus de mon espace vital de sécurité ou de liberté »…
Dans la conjonctivite allergique, l’écoulement oculaire et les démangeaisons nous empêchent de voir correctement. Donc, la signification pourrait être: « je ne veux plus ou je ne peux pas revoir quelque chose de déstabilisant ».
L’expression « perdu de vue » prend également tout son sens.
Dans la dermatose allergique, l’oedème épaissit la peau et noie les récepteurs cutanés signifiant biologiquement: « je ne veux plus ou je ne peux pas être en contact avec quelque chose ou quelqu’un… »
Pour l’oedème du Quincke, les principaux signes alarmants se situent au niveau de la gorge. Nous rechercherons une problématique de secret familial, de non-dit, de mémoires d’étouffement, de pendaison, d’étranglement comme le cordon ombilical autour du cou lors de la naissance de la personne concernée ou d’un ascendant, entre autres.
Concernant le choc anaphylactique, nous pourrions penser que nous sommes devant une problématique des plus dramatiques qu’il nous est proposé d’élucider pour une prévention apres un passage obligé en réanimation.
Pour ces deux dernières pathologies, il existe également d’autres significations plus spécifiques en corrélation avec l’histoire de la personne concernée et que seule une exploration minutieuse peut mettre en évidence…
Le métabolisme de l’eau et la fonction rénale:
Voici les mots clés de cette problématique dont la conséquence biologique peut aboutir au fait de garder l’eau à l’intérieur de l’organisme et être la source d’oedèmes:
- Sensations d’avoir tout perdu
- Sensations d’écroulement de l’existence
- Sensations de perte des repères
- Sensations de peur d’être confronté au néant
A chaque activité conflictuelle où nous retrouvons ces sensations, le système rénal empêche l’évacuation normale de l’eau.
Au total, dans la majeure partie des cas, nous serons à la recherche d’un épisode marquant et très déstabilisant, la source événementielle conflictuelle.
Quelquefois, cette dernière est encore présente dans notre mémoire « vive », celle qui est rapidement accessible à la conscience. D’autres fois, elle est plus ou moins refoulée dans la mémoire « morte » et, enfin, elle peut être encore davantage et plus profondément refoulée dans l’inconscient de la personne elle-même, appartenir à son histoire gestationnelle (Projet Sens Gestationnel) ou occuper une place particulière dans l’histoire familiale sur plusieurs générations (Transgénérationnel).
Ce dernier point explique assez aisément les difficultés à la mettre en évidence mais, heureusement, il existe des techniques thérapeutiques dont la reprogrammation quantique © pour l’effleurer et la faire remonter à la surface de la conscience.
C’est la prise de conscience, tant recherchée au premier abord, et qui fonctionne très bien pour l’allergie en général.
Quels événements de vie sont concernés?
Ne cherchez pas trop loin ! Dans la majorité des cas, il s’agit d’un drame personnel et en voici la description que je propose régulierement pour mettre la personne sur la piste : il s’agit d’un épisode marquant de la vie quotidienne, déstabilisant émotionnellement avec un avant et un après.
Avant, vous étiez « normal », et après un grand changement interne est apparu. Vous l’avez vécu dans un certain état d’isolement, sans pouvoir en parler au début, et ressassé pendant un certain temps. Vous avez pu l’aborder ensuite avec votre entourage et, plus ou moins rapidement, il s’est quelque peu progressivement effacé de votre conscience.
En fonction de l’allergie, nous pouvons également préciser certains points:
- Allergie alimentaire: lors d’un repas.
- Intolérance au gluten: le pensionnat, les séparations de la famille, les réunions familiales, le pain, la baguette, le bâtard.
- Allergie à la poussière, aux acariens: dans une chambre, une grange ou tout autre endroit poussiéreux.
- Allergie au pollen, aux graminées: à l’extérieur ou en rapport avec les amours, la sexualité, les relations charnelles.
- Allergie à l’eau: noyade, piscine, mer, etc.
- Allergie au soleil: dehors en plein soleil, le père ou la fonction paternelle.
Immédiatement après cet épisode ou beaucoup plus loin dans le temps, la première crise d’allergie est survenue dans un contexte particulier à détailler en fonction de sa nature.